dimanche 22 juin 2008

Autres photos de Ste-Luce

Ste-Luce au coucher du soleil
Ste-Luce en plein jourQuelques-uns des chalets colorés que vous pouvez louerLes sculpturales, une série de sculptures que vous retrouverez tout le long de la promenade


Photos de Ste-Luce 2007

Ste-Luce


Cliquez sur la photo ci-dessus afin de visionner quelques-unes des photos que j'ai prises de Ste-Luce en 2007.

Plage de l'Anse-aux-Coques

Située dans la municipalité de Ste-Luce-sur-mer, la plage de l'Anse-aux-Coques est l'une des rares plages publiques de la région. Si cette plage n'a rien de la beauté extraordinaire des plages des Caraïbes, elle possède cependant un charme certain.

La plage est bordée d'une jolie petite promenade où locaux et touristes s'entre-mêlent. Partout autour s'entassent boutiques d'artisanat, galerie d'arts, cafés, restaurants, crème-molles et toutes sortes de type d'hébergement (chalets, motels, auberges, gîtes, campings...).

Étant donné ce que je viens de vous dire, vous pourriez être tentés de croire que l'endroit est bondé de touristes, mais détrompez-vous. Oui, il y en a, mais jamais vous ne vous sentirez étouffés par la trop grande concentration de gens. Vous respirez un air et une odeur unique, et vous vous laisserez caresser par le soleil et la légère brise. Tout cela dans un endroit qui inspire le repos.
Pour ceux qui se posent la question, oui vous pourrez vous baigner, mais seulement si vous n'êtes pas frileux. Pour avoir tenté l'expérience plusieurs fois, je peux vous dire que cela n'a rien de compable à se baigner dans une piscine chauffée. Mais c'est sans aucun doute revigorant !!!

Outre marcher, vous baigner, paresser sur la plage et prendre un repas, sachez que d'autres activités sont possibles. Par exemple, vous pouvez louer un vélo ou un kayak pour explorer les environs. Pour informations ou réservations, composez le (418)-732-7431 ou le (418)-739-5034.

Il est aussi possible de faire de la plongée sous-marine. Les plongeurs expérimentés seront ravis de pouvoir plonger sur l'épave de l'Empress of Ireland, un grand paquebot de croisière qui a coulé en 1914. Les plongeurs amateurs, quant à eux, pourront plonger sur le Nipigon, une épave qu'on a volontairement fait coulé en juillet 2003. Pour plus d'informations, consultez le site du Centre de Plongée du Bas-St-Laurent.

Je vois aussi souvent des adeptes de planche à voile s'exercer à la plage. J'ignore si c'est parce que les conditions sont idéales ou si c'est parce que c'est l'une des seules places pour en faire dans le coin, mais ce qui est certain, c'est que c'est un lieu de rendez-vous pour ceux-ci.

Finalement, tous les étés un concours de sculptures de sable est organisé. C'est toujours un grand succès qui attire beaucoup de gens. Si ça vous intéresse de participer ou de voir les oeuvres des années précédentes, je vous invite à cliquer sur le lien suivant. Cette année, le concours se tiendra le 26 juillet. C'est un rendez-vous !

Parc National du Lac Témiscouata, oui ou non ?

Le projet de créer un parc national au Lac Témiscouata, vous en avez entendu parler ? C'est un projet à l'étude depuis 2003.

Le territoire à l'étude est de 213 km carrés et ne couvre que des terres publiques. Il touche les municipalités de Saint-Michel-du-Squatec, de Saint-Juste-du-Lac, d'Auclair, de Dégelis, de Notre-Dame-du-Lac et de Cabano.

Ce territoire possède des éléments qui le distinguent des autres Parcs Nationaux existants. Par exemple, la présence de 33 espèces de plantes rares, de l'aigle à tête blanche qui est menacé et d'une forme particulière d'épinoche à trois épines (un poisson) qui n'est présente qu'en de rares endroits du monde. De plus, il y a plusieurs sites archéologiques à explorer, des forêts centenaires, des chutes et des grottes à visiter, ainsi que de nombreux sites de randonnée. Le site rêvé, quoi.

Bénéficiant d'une forte circulation routière étant donné la proximité du Maine et du Nouveau-Brunswick, le Témiscouata représente un arrêt logique pour tous ceux qui se dirigent vers l'Est du Québec, les Maritimes ou la Nouvelle-Angleterre. Malheureusement, les gens ne s'y attardent guère. La présence d'un Parc National forcerait les gens à s'arrêter et à découvrir la région ainsi que ses nombreuses ressources naturelles. Cela favoriserait donc le tourisme, et par conséquent, l'économie et l'emploi de la région.

En bref, presque tout favorise l'installation de ce Parc. Les rares opposants au projet ont pour argument que cela les priverait de leurs territoires de chasse et de motoneige. Pourtant, le territoire à l'étude ne représente que 11% de toutes les terres de chasse du Témiscouata. Il en resterait donc 89% pour les chasseurs et les motoneigistes.
Alors, qu'est-ce qui empêche la création de ce parc ? Si ce projet se concrétise, je ferai tout mon possible pour être parmi les premières à le visiter !

J'invite tous les gens qui souhaitent avoir plus d'informations sur le sujet à clique sur le titre de ce message, ce qui les redirigera vers un document PDF.

Je vous invite à visiter le site du Ministère du développement durable, de l'Environnement et des Parcs afin de suivre les développements du projet.

Je remercie tous les gens à qui j'ai emprunté les photos, parmi lesquels se trouvent Gîte du Rêveur à Notre-Dame-du-Lac et Tourisme Témiscouata.

Le Parc National du Lac-Témiscouata en bref:
  • Un territoire de 213 km carrés à l'étude.
  • Des sites d'intérêts tels que le Trou du Perdu, les cascades Sutherland, la Montagne du Fourneau et bien entendu le Lac Témiscouata.
  • Un endroit statégique entre les Maritimes, le Maine et l'Est-du-Québec.
  • Des espèces animales et végétales rares et/ou en voie de disparation.
  • Des retombées économiques potentielles de 30 millions de dollars.
  • Le Parc pourrait attirer 160 000 visiteurs par année et créerait 53 emplois directs et 500 emplois indirects.

lundi 9 juin 2008

Sentiers de la rivière Rimouski

Les sentiers de la rivière Rimouski se divisent en deux parties. Le sentier des éboulis, sur la rive gauche et le sentier des draveurs sur la rive droite (du côté du Parc Beauséjour).
Les sentiers de la rivière, c'est en fait un grand parc urbain qui longe la rivière Rimouski. On a donc l'impression d'être en pleine nature alors qu'en fait on est encore en ville. C'est en quelque sorte le Central Park ou le Mont-Royal de Rimouski. Voilà pourquoi c'est un endroit très apprécié des locaux.
Ce sentier n'est par contre pas très connu des touristes, et pour cause. Ils passent souvent à Rimouski beaucoup trop rapidement. De toute façon, cet endroit n'a rien d'extraordinaire par rapport au Canyon des Portes de l'Enfer ou au Parc du Bic. C'est seulement un endroit paisible où il fait bon d'être quand on a un moment pour soi.
Les sentiers de la rivière sont empruntables à l'année. Il est cependant prudent de les éviter de la fin mars à la mi-avril, lors de la fonte des neiges. La rivière déborde alors souvent de son lit et innonde les sentiers.
L'été on peut y marcher et y faire du vélo, tandis que l'hiver, c'est le royaume des raquetteurs et des skieurs. Une traverse sur la glace de la rivière est d'ailleurs aménagée chaque hiver.
Le sentier des éboulis (celui que j'emprunte le plus souvent) fait 5 km entre l'écluse William Price et la passerelle Dynamo. Il a été nommé ainsi parce qu'il a été formé en 1951 par un glissement de terrain. Par contre, contrairement à ce que l'on pourrait penser, le sentier n'est pas très abrupt. Il est d'accès universel. Plusieurs autres petits sentiers secondaires sont tracés, mais leur entretien est à leur minimum. Je vous conseille de les emprunter. Même s'ils peuvent être un peu plus difficiles physiquement, ils vous amènent souvent dans de jolis petits endroits. Par exemple, l'un d'eux vous amène dans un marécage où vous pourrez aisément observer toutes sortes d'oiseaux et de petits animaux. Le sentier des éboulis est accessible à partir du stationnement de l'écluse William-Price près d'Hydro-Québec, par la rue William-Price (derrière le Mc Donalds), la rue Gilles-Hocquart et la rue des Carrière. Il se rend jusqu'à la passerelle Dynamo, mais se poursuit aussi jusqu'à l'autoroute 20.
Le sentier des draveurs, quant à lui, fait 5,1 km et se divise en deux parties. La section du Parc Beauséjour et la section de la Pulpe, où se trouve entre autres le barrage Boralex. Il a été nommé ainsi en l'honneur des nombreux draveurs qui y sont passés afin d'amener le bois à l'embouchure du fleuve St-Laurent. Comme du côté du sentier des éboulis, vous avez la plupart du temps le choix entre un sentier d'accès universel et des sentiers secondaires moins entretenus. Je ne les ai malheureusement pas assez parcourus pour vous conseiller lesquels emprunter. Du côté du secteur de la pulpe, par contre, il faut vous attendre à un sentier légèrement plus abrupt, avec des pentes et des escaliers. Rien de trop difficile, finalement. Le sentier des Draveurs est accessible à partir du Parc Beauséjour, des rues Parent, Gagné, des Rapides, Tessier, et des stationnements du Dynamo et du barrage Boralex.
Partout le long des sentiers, vous trouverez des tables à pique-nique, des bancs, des belvédères ainsi que des fosses à saumon pour les pêcheurs. Il y a aussi des balises rouges orangées qui vous permettent de mieux juger de la distance parcourue.
Le mieux dans tout ça c'est que l'accès aux sentiers est gratuit en tout temps !
Pour plus de précisions sur les sentiers, visitez le site Internet de la Corporation des Espaces Verts de Rimouski. Pour voir la carte des sentiers, allez dans la section sentiers, et sélectionnez description. Ouvrez les documents PDF proposés.
Je vous souhaite une belle randonnée !

samedi 7 juin 2008

L'île St-Barnabé aujourd'hui

Après vous avoir parlé du passé de l'île St-Barnabé, voici maintenant le temps de vous parler de ce qu'elle est devenue aujourd'hui, c'est-à-dire principalement un lieu de randonnée.
De la fin juin jusqu'à septembre, une navette se fait en zodiac toutes les demi-heures entre la marina de Rimouski-Est et l'île St-Barnabé.
Sur place, un sentier totalisant 12 km. Cela prend en moyenne une demie-journée pour faire le tour complet de l'île. Des tables à pique-nique sont disposées un peu partout sur le site pour prendre un repas ou pour se reposer.
Sur place, vous pourrez observer une faune et une flore diversifiée. Au total, il y a plus de 70 espèces d'oiseaux présentes sur l'île, dont les grands hérons qui sont, à mon avis, les plus impressionnants. Il y a également un nombre impressionnant de champignons de toutes couleurs et de toutes formes. Si vous avez de la chance, vous pourez aussi aperçevoir des orignaux. Il faut cependant avouer qu'ils se font plutôt discrets.
S'il y a une chose certaine cependant, c'est que peu importe quand vous irez, vous bénéficierez d'une vue impressionnante sur la ville de Rimouski au côté sud de l'île et que vous vous ferez fouetter par un vent revigorant au nord.
L'île St-Barnabé fait partie de la route bleue du Québec, ce qui signifie que plusieurs kayakistes et canoteurs y passent le temps d'une nuit au cours de leur voyage.
D'ailleurs, depuis l'été dernier, il y a un nouveau camping sauvage de 14 emplacements. Il est donc possible de passer la nuit sur l'île en pleine nature tout en observant les lumières de la ville ! Vous pouvez transporter votre propre équipement ou réserver l'un des deux terrains déjà équipés.
Bref, peu importe si vous vous rendez à l'île St-Barnabé pour faire du sport, pour vous reposer, pour observer les animaux ou pour vivre une aventure, ce qui est certain, c'est que vous ne serez pas déçus ! De plus, je ne sais pas pour vous, mais dans mon cas, un petit tour de zodiac n'est jamais de refus !
Comment se rendre: Longer la route 132 jusqu'à la marina de Rimouski (vous ne pourrez pas la manquer).
Tarifs 15,50$ adulte, 10 $ pour les 6-17 ans, gratuit pour les 5 ans et moins.
Ouverture: fin juin à début septembre.
Départs: Les départs se font de 9h à 14h30 aux demi-heures, et les retours entre 10h15 et 18h15 aux demi-heures.
Pour informations supplémentaires:
Hors saison: (418)-723-2322
En saison: (418)-723-2280
Il est recommandé de réserver quelques jours à l'avance. Si vous ne le pouvez, arrivez tôt au début de la journée.

Île St-Barnabé- Légende et faits historiques

L'île St-Barnabé est une île longue et étroite qui fait face à Rimouski. Elle a été découverte par Samuel de Champlain au début du XVIIe siècle, un 11 juin, soit le jour le la St-Barnabé. Peu de personnes hormis les Rimouskois savent que cette île possède une légende. À l'instar de toutes les légendes, la légende de l'ermite Toussaint Cartier est mystérieuse. Pourtant, on a maintenant des preuves de la vérité de certains faits. Un roman écrit par Frances Brooke publié en 1769, The History of Emily Montague, a contribué à démêler le vrai et le faux.
Toussaint Cartier est né en France près de Morlaix. Alors qu'il est âgé d'environ 21 ans, son bateau fait naufrage près des côtes Canadiennes en 1728. Il survit, et, on ne sait trop comment, se retrouve à Rimouski. Après quelques temps, il demande la permission au monseigneur Lepage de vivre en ermite à l'île St-Barnabé. Il se serait construit une cabane et aurait vécu du blé et des petits pois qu'il cultivait, de petits fruits sauvages et des quelques animaux dont il faisait l'élevage.
La légende, quant à elle, veut qu'il soit embarqué dans une chaloupe en compagnie d'une jeune femme du nom de Louise pour se rendre sur l'île. Sur place, seul Toussaint aurait mis les pieds hors de la chaloupe pour visiter. Or, pendant ce temps, un orage aurait éclaté. Toussaint aurait couru pour regagner le rivage, mais arrivé trop tard, il aurait vu sa fiancée et le canotier noyés au milieu de la baie. Le corps de Louise serait revenu sur le rivage et Toussaint aurait promis de vivre en ermite sur l'île St-Barnabé en souvenir de son amour.
Revenons-en aux faits historiques établis. Toussaint Cartier n'était pas antisocial, contrairement à ce qu'on pourrait penser d'un ermite. Paraît-il qu'il recevait toujours ses visiteurs chaleureusement, leur offrant lait et fruits frais. Il traversait parfois à Rimouski pour assiter aux offices religieux. Il était plutôt discret sur son mode de vie mais était sympathique avec les habitants de Rimouski.
Toussaint l'ermite est mort le 30 janvier 1767. On raconte que la veille, le petit-fils de Pierre Lepage, alors âgé de 14 ans, se serait aperçu qu'aucune fumée ne sortait de la cheminée du vieillard. Il aurait traversé la banquise, et aurait ramené le vieillard évanoui à Rimouski. Il se serait réveillé le lendemain, où il aurait demandé de recevoir les derniers sacrements, avant de mourir.
Le petit-fils de Pierre Lepage, Charles, aurait laissé à sa mort des indications sur l'endroit où l'ermite aurait été enterré. Des recherches ont été entreprises afin de retrouver son corps à partir de ces instructions, et, curieusement, personne n'a jamais retrouvé son corps.
Il y a quelques années, un homme, M. Lepage, allait habiter sur l'île dans une petite maison visible de Rimouski tous les étés. Je le soupçonne d'être un descendant du seigneur Lepage, a qui est revenu le lopin de terre de Toussaint Cartier après sa mort. Il vivait en solitaire. Quand il s'ennuyait, il allait vers les sentiers où des visiteurs arpentaient l'île, et les invitaient à prendre un thé dans sa maison. C'était un réel privilège pour les personnes de se faire inviter par ce monsieur, car il sortait rarement de chez lui. Quand j'ai visité l'île avec mes parents, mon frère et mes grands-parents, nous avons eu l'honneur de se faire inviter par ce monsieur. Ma grand-mère s'est trouvée des liens familiaux avec M.Lepage, ce qui signifie peut-être que j'ai des liens familiaux très éloignés avec une importante famille de l'histoire Rimouskoise !
Près de la maison de M.Lepage, qui est décédé en 2000 si je me rappelle bien, se trouve une croix érigée à la mémoire de Toussaint l'ermite.
Pour raconter la légende, je me suis basée un livre, l'Histoire de Rimouski par le nom de ses rues, et par un article de wikipédia dont voici le lien. Fait comme ça en passant, aujourd'hui, une rue de Rimouski porte le nom de Toussaint Cartier. Ironiquement, son île n'est aucunement visible de la rue en question !
Les photos, sauf la dernière, ne sont pas de moi. Je remercie donc les personnes auxquelles j'ai emprunté ces magnifiques photos. Je ne manquerai pas d'ajouter les miennes lorsque j'y retournerai !

Bienvenue à tous !

Bonjour et bienvenue sur mon Bas-St-Laurent !
Pour ceux qui me connaissent de mon autre blog, Bienvenue chez Isa : si jamais vous vous demandez pourquoi je fais un deuxième blog alors que j'écris déjà amplement et régulièrement sur le premier, je vous réponds ceci.
J'avais le goût de créer quelque chose qui s'apparentait plus à un blog. Un blog est supposé se concentrer sur un sujet spécifique, alors que Bienvenue chez Isa traite de tous les sujets possibles. J'ai choisi de traiter du Bas-St-Laurent car j'adore ma région et je considère qu'elle mérite d'être mieux connue.
Depuis longtemps, je fréquente Voyageforum.com. Et chaque fois, je constate que la merveilleuse région du Bas-St-Laurent est bien méconnue. Et je me demande sincèrement pourquoi. Je constate que la plupart des Européens qui viennent faire un tour au Québec visitent Montréal, Québec, le Saguenay Lac St-Jean et la Gaspésie. Et ça ne s'applique pas qu'aux Européens. Que non. Pour la plupart des touristes Québécois, Canadiens et Américains, le Bas-St-Laurent, ce n'est qu'une région qu'on doit traverser entre la ville de Québec et la Gaspésie. Je me demande bien pourquoi.
Sans rien enlever à ces endroits, le Bas-St-Laurent les accote, de même que certaines autres régions moins connues telles que la Côte-Nord. Bien sûr, me direz-vous, tout dépend de ce que l'on recherche en voyage. Je suis d'accord. Par contre, à mon avis, si vous voulez vous rendre en Gaspésie, c'est que vous aimez la nature, le pittoresque. Je me trompe ? La Bas-St-Laurent possède tout ce que la Gaspésie a, avec quantité de touristes en moins. En plus, il y a de grandes chances que ce soit plus près de chez vous.
Attention cependant, je ne vous dis pas de ne pas aller en Gaspésie. C'est une superbe région à ne pas manquer. Je me dis seulement que ceux qui se rendent en Gaspésie passent à côté de beaucoup de choses en passant tout droit à travers ma région.
Je vous invite donc à découvrir le Bas-St-Laurent en ma compagnie. En espérant que vous apprendrez à l'aimer comme je l'aime ! Continuez quand même à visiter mon autre blog, je n'ai pas l'intention de l'abandonner !